Le champignons Alternaria est largement répandu dans l'environnement. De nombreuses espèces de ce genre peuvent produire une variété de métabolites secondaires toxiques, appelés toxines d’Alternaria. Une contamination de ces toxines d’alternaria est possible sur les céréales, les oléagineux, les fruits et les légumes, pendant la croissance comme pendant le stockage, entraînant d'éventuels effets nocifs pour la santé.

La Commission Européenne (CE) a publié la recommandation (UE) 2022/553 sur le contrôle de la présence de toxines d’Alternaria dans les denrées alimentaires, dans laquelle elle demande à l'EFSA d'effectuer une évaluation de l'exposition humaine. La recommandation stipule que les États membres, en collaboration avec les exploitants du secteur alimentaire, devraient surveiller les toxines d’Alternaria suivantes : Alternariol (AOH), Alternariol monomethyl ether (AME) et Tenuazonic acid (TeA), et ceci en particulier dans les matrices suivantes :

• Fruits (pommes, agrumes, olives et figues sèches)
• Légumes (tomates et produits de tomates transformés)
• Graines oléagineuses et noix
• Céréales
• Épices (poudre de paprika)

Comme laboratoire, nous voulons vous aider à prendre une longueur d'avance sur la régulation et à surveiller l’ éventuelle présence des toxines d’Alternia dans votre chaîne d'approvisionnement. Pour ceci nous avons créé une nouvelle méthode, ALT_01_A, qui regroupe spécifiquement les trois toxines d’Alternaria de la recommandation Européenne. Suite à la création de cette nouvelle méthode, l'alternariol et l'éther monométhylique d'alternariol ont été éliminer de notre méthode MYC_02_A.

Plus d'information

En plus de cette nouvelle méthode ALT_01_A, nous offrons également deux autres méthodes d'analyse des mycotoxines: MYC et MYC_02_A. Si vous auriez des questions concernant ces différentes méthodes d'analyse ou si vous souhaitez des informations complémentaires sur les toxines d’Alternaria, n'hésitez pas à nous contacter.

• info@primoris-lab.fr

• +33 (0)9 75 17 01 92